Débuter en UX-UI design peut être déconcertant au vu du nombre d’informations disponibles en ligne. Dans cet article, je vous propose ainsi de répondre aux questions qu’il me semble essentiel de se poser lorsque l’on souhaite intégrer le monde de l’UX-UI design, mais également de vous apporter autant de conseils que possible pour décrocher votre premier job.
Table des matières
Etape 1. Se poser les bonnes questions et s'informer
Qu'est-ce que l'UX-UI Design ?
UX signifie « User experience ». Il s’agit de l’expérience que vit un utilisateur en étant face à un produit – digital ou non – un service ou un système. Avant tout, il est important de noter que chaque usage est défini selon 2 dimensions : son utilité et son utilisabilité. Alors que l’utilité se réfère à la capacité d’un objet à servir la réalisation d’une activité humaine, l’utilisabilité représente la facilité d’emploi de cet objet.
Prenons l’exemple de deux objets ayant la même utilité : une combinaison de plongée et un scaphandre. Les deux permettent de se déplacer dans l’eau. Toutefois, alors que le scaphandre est un objet relativement imposant et qu’une connexion permanente avec l’air est nécessaire, la combinaison propose, elle, une autonomie certaine. Ainsi, cette nette amélioration de l’usabilité explique pourquoi, aujourd’hui, les plongeurs n’utilisent presque plus que des combinaisons.

L’expérience utilisateur va dépendre de ces notions d’utilité et d’utilisabilité mais également de l’architecture de l’information, de la stratégie du contenu, de l’interface utilisateur, des fonctionnalités, du design graphique et du design d’interaction.
Ainsi, l’UX design est une discipline et une démarche qui consiste à étudier, travailler et anticiper les réponses, perceptions et émotions d’un individu lors de ses interactions avec un produit/service/système. L’UX design est un peu la science de l’expérience utilisateur.
Quelles qualités doit avoir un UX designer (soft-skills) ?
Avant de vous lancer, je vous conseille de faire le point sur vos atouts, les compétences et connaissances que vous avez, mais surtout celles que vous souhaitez exploiter dans votre quotidien professionnel. À partir de cette petite mise au point avec vous-même, vous pourrez savoir si le métier d’UX designer est fait pour vous.
La démarche d’UX design s’inscrit dans une conception d’interface centrée sur les utilisateurs. L’UX designer rend l’utilisation d’un produit plus agréable et efficace en anticipant un maximum de scénarios possibles et de problèmes qui pourraient se poser lorsqu’un individu utilise l’interface. L’utilisateur étant au centre du travail de l’UX designer, l’empathie est une des qualités les plus importantes à avoir mais est loin d’être la seule. L’UX designer n’est pas un spécialiste, il est fondamentalement pluridisciplinaire. Il va jouer un rôle de technicien, de psychologue, d’artiste, d’ergonome, et il sera à la fois fédérateur de projet et catalyseur d’une équipe. Ainsi, la créativité, la curiosité, le travail d’équipe, de bonnes capacités d’analyse, une ouverture d’esprit et l’humilité, sont autant de qualités essentielles dans ce métier.
L’UX designer doit être force de proposition, s’interroger, écouter, remettre en question, collaborer, communiquer et avant tout aimer résoudre des problèmes. Je vous propose d’ailleurs cette vidéo de Tony Fadell qui explique qu’il est relativement simple de résoudre des problèmes que tout le monde voit, mais bien plus difficile – et c’est là tout l’objectif de l’UX designer – de résoudre des problèmes invisibles : https://urlz.fr/hbqE
Quelle(s) compétences pour se lancer et évoluer (hard-skills) ?
Les objectifs de l’UX design vous intéressent et votre profil semble correspondre à celui du designer d’expérience utilisateur ? Il est temps de se pencher sur les compétences à avoir et les formations qui pourraient vous aider.
Au-delà des qualités vues précédemment – qu’on appelle aussi des soft-skills – l’UX designer doit bien sûr avoir certaines connaissances et compétences plus ou moins spécifiques (les listes ci-dessous ne sont pas exhaustives, n’hésitez pas à les compléter en commentaires).
Voici les domaines dans lesquels il est primordial d’avoir ou de viser l’acquisition de notions ou de connaissances solides : ergonomie, sciences cognitives (perceptions, intelligence humaine ou artificielle, langage, mémoire, émotions, raisonnement, attention…), marketing/stratégie de communication digitale, graphisme, culture technologique et numérique…
Impliqué dans un projet, l’UX designer suit 3 grandes phases : il observe (user research), il teste et valide des hypothèses (user test) puis il procède par itération afin de trouver de nouvelles solutions qui se rapprochent progressivement de l’expérience utilisateur optimale et visée.
Ainsi, diverses compétences (hard-skills) sont nécessaires : effectuer des études utilisateurs et créer des personas, maitriser les méthodes de testing (e.g., observation, testing A/B, test avec mise en situation, tri de cartes, eye-tracking), effectuer et interpréter des analyses statistiques (qualitatives et quantitatives), mener des séances d’idéation, des ateliers de co-conception, créer des maquettes, des prototypes d’interfaces… Le prototypage est un savoir primordial puisque votre rôle consistera à prendre les besoins de l’utilisateur et de les traduire dans les interfaces sur lesquelles vous travaillerez.
Quelles formations permettent de devenir UX designer ?
Premièrement, il faut noter que l’UX design est un métier récent, en pleine expansion et pour lequel il n’y a pas de profil type. Un minimum de Bac + 3 ou +5 est recommandé au vu des fonctions à responsabilités impliquées. Pour ce qui est de la spécialisation, 4 grandes possibilités s’offrent à vous :
– Les candidats peuvent être titulaires d’un diplôme en sciences cognitives, en développement web, en (web)marketing, en art…
– Des formations complètes et plus spécifiques, mêlant métier du web et créativité, sont également possibles. Vous avez par exemple le Bachelor Chef de Projet Digital (bac+3) ou le Mastère User Experience (bac+5) proposés par l’École supérieure du digital (ESD), le Bachelor ou master UX design de l’IESA Multimédia ou à l’ECV Digital. Il en existe un certain nombre et pour cette raison, je vous conseille notamment le site Diplomeo qui vous permettra d’avoir une liste plus exhaustive en fonction de vos propres critères (e.g., localisation, niveau d’étude).
– Vous pouvez aussi vous tourner vers des formations à distance plus courtes (parfois appelées Bootcamp) à effectuer à votre rythme. Il en existe également un très grand nombre dans divers organismes tels que CEGEFOS (40heures), Human Station (90 heures), ou 26Academy (27heures) par exemple.
– La dernière solution tout à fait possible, impliquant simplement une importante rigueur et motivation, c’est l’autoformation. Une quantité incroyable de ressources et de cours sont disponibles en ligne : vidéos et mooc (e.g., Youtube, LinkedInLearning, Open Classroom, MyMooc, Mooc-francophone), blogs et newsletters (e.g., UX planet, le 13H de Stratégies, Petit web, le Blog du Modérateur, UX Collective, Usabilis). Vous avez en outre des sites réunissant tout un réseau de professionnels et qui, en plus d’offrir une quantité d’informations importantes et utiles, vous permettent de vous inspirer, de découvrir de nouvelles ressources et de communiquer (e.g., Medium, Behance, Dribble). Bien entendu, acheter des livres permet aussi d’apprendre énormément. Vous avez par exemple UX design & Ergonomie des Interfaces (Nogier & Leclerc, 2016), la Phase de Recherche en Web design (Hall, 2015) ou Design & Interface (Boucher, 2010).
Etape 2. Préparer son CV
Que vous ayez une formation/diplôme spécifique portant sur l’UX-UI design, ou tout autre diplôme s’éloignant plus ou moins du domaine, votre CV est une production importante pour votre recherche d’emploi. Les recruteurs vont se focaliser sur ce que vous êtes capables de faire. Votre CV doit transmettre rapidement et efficacement les bonnes informations, celles qui vous distingueront des autres candidats, et leur montreront que vous avez quelque chose à leur apporter.
Conseil n°1 – Quelle longueur ? : votre CV doit tenir sur 1 page. Les recruteurs peuvent recevoir un nombre très important de candidatures. Il leur sera impossible d’analyser chacune d’elles dans le détail. Soyez bref, concis et pertinent.
Conseil n°2 – Original ou classique ? : si vous allez vous inspirer par exemple sur Behance, vous verrez de jolis CV très originaux, très design, que vous serez tentés de prendre en modèle. L’aspect visuel peut être un atout essentiel lorsqu’un recruteur lis des CV à la chaîne. Mais attention : l’originalité dans un CV peut aussi bien être votre ami que votre ennemi. Mettre trop d’informations, de couleurs, de sections ou d’éléments visuels différents, entravera sans aucun doute la facilité et la rapidité avec laquelle le recruteur lira votre CV et percevra le message que vous souhaitez lui faire passer. L’idéal est donc, si vous souhaitez envoyer un CV original, de le faire avec parcimonie. Selon moi, ajouter un élément ou deux qui ferait ressortir votre CV est une bonne idée (e.g., une couleur, un cadre, un type d’élément visuel). Mais ce qui doit primer avant tout, c’est l’organisation et la logique de présentation du contenu.
Conseil n°3 – Le contenu : dans la majorité des cas, les mêmes éléments constituant votre CV seront attendus par les recruteurs.
- Vos informations personnelles : nom, adresse mail, numéro de téléphone, une indication sur votre adresse postale (la ville suffit), et si vous en avez, un lien vers un de vos réseaux professionnels (e.g., dribble), votre site internet ou votre portfolio. Ces liens vous aideront à montrer ce que vous êtes capable de produire.
- Photo ou pas photo ? Pour moi, la réponse est, sans hésiter : pas de photo! Malgré le fait que l’on communique de plus en plus sur l’existence des préjugés, tous les recruteurs n’en ont pas encore pleinement conscience et il existe ce que l’on appelle les préjugés implicites. Ainsi, la photo n’apportera aucune information utile supplémentaire et elle sera susceptible de vous desservir.
- Un titre ou une description : après vos informations personnelles, vous pouvez ajouter une brève description (une phrase ou deux) afin de résumer notamment ce que vous savez faire ou vos aspirations. Éviter l’humour ou tout contenu qui n’informerait en rien votre recruteur sur ce que vous pouvez apporter à l’entreprise.
- Énumérez ensuite vos expériences professionnelles. Doit y figurer : le nom des entreprises, les dates de début et fin de contrat, le rôle que vous teniez et le lieu d’exercice. En dessous chacune de ces présentations, vous décrirez sous forme de bullet point quelques missions accomplies, résultats obtenus, communications publiques effectuées, et/ou compétences pertinentes pour le job auquel vous postulez. Dans cette section, le recruteur doit également pouvoir retrouver vos stages.
- Poursuivez avec votre parcours académique / scolaire. Soyez concis et bref. Si vous n’avez pas d’expérience professionnelle, vous pouvez ajouter des bullet point dans cette section et parler de projets étudiants sur lesquels vous avez travaillé, des compétences que vous souhaitez mettre en avant etc.
- Section supplémentaire n°1 – Les Hard-skills. Vous devez dresser la liste des outils et méthodologies avec lesquels vous avez travaillé et/ou que vous maitrisez. Trouvez un bon équilibre : ne mettez pas d’outils précis trop évidents (e.g., Word) mais ne soyez pas trop généraliste non plus. Par exemple, si vous faites de la 3D ne mettez pas simplement « Modélisation 3D », ajoutez un outil avec lequel vous aimez modéliser ou avec lequel vous avez le plus d’expérience, tel que « Modélisation 3D – Unity ».
- Section supplémentaire n°2 – Les langues (facultatif). Vous pouvez ajouter, soit dans la section des hard-skills, soit dans une section indépendante, les langues que vous maitrisez. Faites-le surtout si cela est pertinent avec le job. Éviter les jauges représentant votre niveau, ou autres indicateurs visuels sujets à interprétation et non explicites. Contentez-vous d’une caractéristique entre parenthèse. Par exemple : Français (langue maternelle), Anglais (bilingue)
- Section supplémentaire n°3 – Centres d’intérêt (facultatif). Vous pouvez ajouter une section avec vos centres d’intérêt si cela est pertinent pour le job auquel vous postulez ou si cela révèle explicitement quelque chose d’utile sur vous.
- Section supplémentaire n°4 – Les soft-skills (facultatif). Vous pouvez ajouter une section avec vos soft-skills (e.g., travail d’équipe, créativité, flexibilité). C’est à vous de voir si cette section vous semble importante en fonction de votre profil, du message que vous souhaitez délivrer, du nombre d’informations déjà présentes sur votre CV etc.
En résumé, votre CV doit tenir sur 1 page, être concis et bref. Le recruteur doit, en moins d’une minute, réussir à capter et percevoir le message que vous souhaitiez lui faire parvenir, à analyser votre profil, et surtout, ce que vous pourriez apporter à l’entreprise.
Etape 3. Rédiger sa lettre de motivation
On vous la demande parfois explicitement, parfois non. Les avis vis-à-vis des lettres de motivation sont partagés. Normalement, un CV bien construit suffit à faire passer les informations importantes en peu de temps de lecture. Mais si vous devez – ou souhaitez – rédiger une lettre de motivation, je vous conseille simplement de faire attention aux fautes d’orthographe, d’envoyer des lettres adaptées/personnalisées à chaque entreprise à laquelle vous écrivez, de ne pas dépasser 1 page et de lire plusieurs articles traitant spécifiquement des lettres de motivation. En général, on conseille de décrire les raisons pour lesquelles vous postulez spécifiquement à ce poste et dans cette entreprise, puis des raisons pour lesquelles vous êtes le profil correspondant (i.e., en fonction de vos expériences et compétences).
Etape 4. Optimiser son profil LinkedIn
LinkedIn est un réseau social de plus en plus utilisé. Il s’apparente grandement à votre CV mais vous permet d’entrer directement en contact avec d’autres professionnels et des recruteurs. Votre photo est visible, elle doit être professionnelle (ou vous pouvez utiliser un avatar). Vous devez également rédiger un « titre » à votre profil : de façon concise et claire, mentionnez ce que vous étudiez, ce à quoi vous aspirez, et/ou une expérience importante / significative. Pour le contenu de votre profil, vous pouvez suivre les mêmes conseils que pour les sections « Expériences professionnelles » et « Formations » de votre CV.
Etape 5. Préparer un portfolio
Un portfolio (i.e., sur votre propre site internet ou sur des plates-formes comme Behance, Dribble, Adobe…) a pour objectif de montrer aux recruteurs ou à d’autres professionnels ce que vous avez produit, la démarche que vous avez suivie, les résultats obtenus et tutti quanti. Quoi qu’il comporte, votre portfolio représente la partie concrète de votre candidature, c’est l’occasion de montrer concrètement et réellement ce que vous savez faire.
Sur chaque projet présenté, faites un vrai travail de synthèse. Vous allez sans doute devoir rendre quelque chose de complexe, visuellement et facilement compréhensible. Vous commencerez par un résumé du projet, les outils utilisés, l’objectif, la portée de ce projet et le rôle que vous avez joué. Ensuite, vous développerez – souvent le plus visuellement possible – les étapes du projet en fonction du processus que vous avez suivi. Au niveau du format du contenu, tout y est accepté : photo, prototype interactif, vidéos, illustrations… Vous pouvez aller voir sur dribble et Behance les portfolios de professionnels afin de comprendre la démarche et de vous en inspirer.
Comment faire sans expérience préalable ? Vous pouvez proposer des productions effectuées durant votre formation, vous lancer vous-même un défi (e.g., redesigner un site que vous ne trouvez pas optimal), ou encore adhérer à des défis en ligne qui vous permette de produire pas mal, tel que : DailyUI, The Cacatoès Theory, Up labs, UX Challenge ou Ui Coach.
Etape 6. Networking
Développer et entretenir son réseau est une démarche importante qui peut s’avérer très utile pour décrocher un job. Que ce soit par l’intermédiaire d’un blog, de post ou conversations sur les réseaux (e.g., Twitter, LinkedIn, Discord) ou encore de votre présence à des conférences, tous les moyens sont bons pour discuter, échanger et vous « faire connaître ».
Etape 7. Entretien d'embauche, les étapes clés
Vous avez optimisé votre visibilité numérique, construit un portfolio, discuter un peu et vous vous lancez. Vous postulez. Comment ça va se passer ? Cela dépend bien entendu des entreprises et des fonctionnements de recrutement.
Mais globalement, vous pouvez avoir un entretien avec le/la RH, qui s’axera plutôt sur votre parcours, vos aspirations et volontés, vos motivations etc. Mes conseils ? Soyez vous-même, honnête, renseignez-vous bien sur l’entreprise et ses valeurs, montrez que vous êtes à l’aise (même si ce n’est pas le cas) sans trop en faire ou jouer un rôle. Essayez simplement de vous concentrer sur la conversation et non pas sur l’après.
Si vous passez cette première étape, vous aurez au moins un entretien dit « technique ». On rentre dans le vif du sujet. Vous échangerez avec un ou plusieurs professionnels, vous reviendrez bien sûr sur votre parcours et vos ambitions, vos compétences, mais vous aurez également une étude de cas à effectuer. Vous recevrez un brief – avec plus ou moins de contexte et d’informations – et on vous laissera un certain temps pour proposer la démarche que vous suivriez pour répondre au problème. Mes conseils ? Restez concentrés, organisés dans vos propos et propositions, argumentés vos idées, soyez à l’écoute et n’hésitez pas à poser des questions.
CONCLUSION
Que ce soit dans votre apprentissage, vos échanges ou vos productions, soyez méthodique, organisé, déterminé et confiant.
Si vous avez des questions, des avis ou des remarques à partager, vous pouvez le faire directement en commentaire ici (faites-en profiter tout le monde), m’envoyer un message privé ou m’écrire sur les réseaux.
Références
– Nogier, J. F., & Leclerc, J. (2016). UX Design et ergonomie des interfaces-6e éd. Dunod.
– Drouillat, B. (2016). Le design interactif: du web design aux objets connectés. Dunod.
– Fadell, T. (2015, mars). Le grand secret du design : ouvrir les yeux. TED. https://www.ted.com/talks/tony_fadell_the_first_secret_of_design_is_noticing?language=fr
– Hodent, C. (2020, 21 juin). Getting a Job in the Video Game Industry: General Tips & Focus on UX roles . Celia Hodent. https://www.notuxedo.com/que-faire-plagiat/ https://celiahodent.com/getting-a-job-in-the-video-game-industry-general-tips-focus-on-ux-roles/
– QU’EST-CE QUE L’UX DESIGN ? (2020, 6 octobre). Usabilis. https://www.usabilis.com/ux-design/
– UX Design : découvrez les fondamentaux. (2022, 26 janvier). Open Classroom. https://openclassrooms.com/fr/courses/3013856-ux-design-decouvrez-les-fondamentaux
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Rediger une lettre de motivation pour decrocher un stage est un exercice delicat. Il est necessaire de se plier a certaines regles pour mettre toutes les chances de votre cote. L’Etudiant, avec son partenaire Mycvfactory, vous livre ses conseils pour mettre toutes les chances de votre cote et vous propose un modele de lettre de motivation pour vous inspirer. L’objet de la lettre de motivation est la premiere chose que verra le recruteur en la recevant. C’est une etape a ne pas negliger, notamment pour une candidature spontanee. Dans le cas de Juliette, elle envoie une candidature spontanee pour un stage, elle l’indique donc clairement. Il est egalement important d’indiquer le poste pour lequel on candidate, et en tout cas le sujet du stage recherche. Ainsi, le lecteur pourra immediatement se positionner vis-a-vis de la demande de stage et du profil de l’etudiant. Dans le cadre d’une recherche de stage, il est egalement tres important d’indiquer les dates pressenties.